Marie Vitoux et Christophe Jouin, co-présidentEs du groupe écologiste et citoyen à la Ville de Nantes

Les éluEs écologistes et citoyenNEs ont choisi Marie Vitoux pour co-présider le groupe à la ville de Nantes, aux côtés de Christophe Jouin. Marie Vitoux succède ainsi à Julie Laernoes, élue députée de la 4ème circonscription de Loire-Atlantique, qui démissionne de ses fonctions à la ville de Nantes et Nantes Métropole. Elle saura défendre avec force et détermination les combats chers à notre territoire.

Marie Vitoux : « Les résultats obtenus par la NUPES aux élections législatives montrent à nouveau que la société est en attente de transformations profondes : démocratiques, sociales et environnementales. J’ai confiance dans nos députéEs nouvellement éluEs pour porter ces combats à l’Assemblée Nationale. Nous continuerons à le faire localement en assurant par exemple la mise en œuvre du dispositif Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée, du 1% métropolitain pour la mise à l’abri, ou de la rénovation et la construction des écoles. »

Christophe Jouin : « En 2020, nous nous y sommes engagéEs : nous nous mobilisons chaque jour pour transformer nos modèles, et opérer les mutations nécessaires pour faire face aux défis que Nantes doit relever. Je sais pouvoir compter sur la responsabilité, la diversité et le fonctionnement collectif de notre groupe. Tout au long de ce mandat, nous mettons nos ressources collectives au service de la défense d’une écologie sociale et solidaire. »

Avec le soutien des militantEs d’EELV et de AVEC [Nantes] (Association de Veille Écologiste et Citoyenne), nous nous battrons pour :

  • Garantir une production suffisante de logements sociaux et un accueil digne et inconditionnel sur notre territoire. 
  • Lutter durablement contre le dérèglement climatique et la disparition de la biodiversité, y compris en modifiant nos modes d’urbanisation. 
  • Assurer l’accès à des services publics de qualité pour toutes et tous : éducation, petite enfance, santé, transports, emploi, culture, et ce dans un contexte de désengagement de l’État dans son soutien aux collectivités locales.
  • Être au plus près des habitant·e·s, au quotidien, en redonnant du pouvoir d’agir et en soutenant les initiatives collectives.