Nous entrons dans une nouvelle phase de confinement lors de laquelle les écoles et les crèches vont devoir fermer pour ralentir la progression de l’épidémie.
Nous regrettons le manque d’information de la part du gouvernement tant il crée de l’inconfort et engendre un sentiment de manque de reconnaissance pour les professionnel·le·s qui œuvrent sur le terrain. Suite aux annonces, nous ressentons la lassitude et le désarroi des familles nantaises.
Paradoxalement, malgré l’absence de cadrage au niveau national, la mobilisation locale est activée et les personnel·le·s des écoles et des crèches s’organisent pour pouvoir accueillir les enfants des personnels prioritaires. La Ville de Nantes souhaite aller plus loin et, dans les prochains jours, va s’organiser pour accueillir des enfants de familles qui n’auraient pas été jugés prioritaires par l’Etat.