La première édition des 15 lieux à réinventer a été un succès et a marqué un renversement de méthode apprécié de tous. Elle a permis de faire évoluer l’implication citoyenne dans la fabrique de la ville, de penser collectivement son évolution, grâce à l’imagination et à la créativité.
Les initiatives qui ont été choisies montrent la volonté des citoyens de construire des projets solidaires, collectifs, ouverts à tous et à toutes : je pense notamment pour n’en citer que quelques-uns à la cocotte solidaire, la chapelle du Martey ou encore le verger urbain à l’Université.
Cette deuxième édition est une excellente nouvelle et la liste des lieux sélectionnés promet de belles concrétisations. Ces lieux sont déjà présents dans l’imaginaire des nantaises et des nantais : qu’il s’agisse du presbytère de Doulon, du square Vertais ou encore du Pont de la Tortière, ce sont des lieux avec une histoire et un présent ancré autour des solidarités, où des personnes à la rue ont été et sont présentes. Comme lors de la première édition, une prise en compte de ces usagers est primordiale pour permettre une bonne intégration des futurs projets.